Le Barnum & Bailey Circus, après avoir visité plusieurs pays européens, se produisit à Paris, puis entreprit une tournée en France, dans 106 villes, en 1902. Ce fut un succès de curiosité sans précédant !
affiche de Barnum & Bailey Circus en 1902

Barnum & Bailey Circus en France en 1902

 Barnum & Bailey Circus au delà de l’Atlantique

En octobre 1897, le Barnum & Bailey Circus, avec ses artistes, son personnel, sa ménagerie et son matériel, s’embarquait à bord du Massachusetts en direction de l’Europe. Ce grand voyage qui allait durer plusieurs années. L’ensemble tenait dans 67 wagons de 20 mètres de long.

À la tête de l’expédition, James Anthony Bailey supervisait les opérations. Depuis le décès de Phineas T. Barnum, à Bridgeport, le 7 Avril 1891, il était le seul maître à bord. Fort de l’expérience de son séjour à Londres, pendant l’hiver 1889, James A. Bailey décida d’entreprendre une grande tournée européenne.

 Barnum & Bailey Circus dans les capitales européennes

Le Cirque Barnum & Bailey se produisit pendant l’hiver à l’Olympia de Londres, du 27 décembre 1897 au 2 avril 1898.

Le cirque remisa, du 4 au 9 avril à Stoke-on-Trent, puis partit en tournée le 11, en débutant par Manchester. On fêta le retour des artistes, à Londres le 26 décembre. Le 10 avril 1899, ce fut le début de la deuxième tournée Britannique, en commençant par Birmingham. Le périple s’acheva le 10 novembre après la matinée, à Nuneaton, et le cirque prit à nouveau ses quartiers d’hiver à Stoke-on-Trent.

affiche de la cavalcade de Barnum & Bailey Circus

Cavalcade de Barnum & Bailey

Barnum & Bailey embarqua sur le Michigan, en direction de Hambourg, où la première eut lieu le 15 avril 1900.

Le cirque visita ensuite l’Allemagne en passant par Berlin (du 16 mai au 10 juin). Puis ce fut Dresde, Leipzig, Metz (13 septembre), Strasbourg (15 au 17 septembre), Colmar (18 septembre), Stuttgart, Munich, jusqu’au 10 novembre à Passau.

La firme atteignit ensuite Vienne, et donna des représentations à la Rotonde, du 25 novembre au 24 février 1901, puis prit ses quartiers d’hiver.

Du 7 avril au 31 août, Barnum & Bailey visita l’Empire Austro-Hongrois, avec Budapest (7 au 21 avril), Prague (13 au 18 juin), Cracovie (29 et 30 juin)… Et encore un passage par l’Allemagne, en août jusqu’à Brême.

Le géant américain visita ensuite la Hollande, du 1er au 7 octobre, via Amsterdam, La Haye, Rotterdam. Enfin, les Belges, de Liège à Mons, en passant par Namur, Bruxelles et Gand, vinrent en foule.

La pub du Barnum & Bailey Circus

A chaque fois, le succès était au rendez-vous.

Le service de publicité était le fer de lance de l’entreprise. Peint en blanc, et le nom de la firme écrit en lettres d’or, le wagon-réclame de 20 mètres de long, précédait le cirque au moins deux semaines à l’avance. Attelé à un train express, il abritait les services de presse et d’affichage. La campagne d’affichage était extraordinaire. Dès le petit matin, une vingtaine d’afficheurs embauchés en Amérique, placardaient des affiches géantes hautes en couleur. Certains panneaux mesuraient 65 mètres de large sur 3 mètres cinquante de hauteur. Qui pouvait résister à une telle réclame ?

Barnum & Bailey Circus en France - un rêve d'enfant

Rêve d’enfant du Barnum & Bailey

Pour son information, le public pouvait acquérir Le Livre des Merveilles, un guide écrit par Clarence L. Dean, avec un lyrisme que n’aurait pas renié notre bon Rabelais.

Venaient ensuite le Programme officiel, et une brochure de grand format intitulée Le plus imposant et le plus intéressant établissement de récréation du monde – Barnum and Bailey Greatest Show on Earth.

Ce livret abondamment illustré, évoquait parfaitement le charivari tintamaresque de l’arène colossale. 

Une quatrième publication, Barnum & Bailey en route – Leur système spécial de transport, décrivait le matériel ferroviaire. Enfin on pouvait acquérir deux séries de cartes postales, dont un jeu était en couleur.

La tournée allemande et néerlandaise bénéficia d’une troisième série, elle aussi, en couleur. Les journaux étaient inondés d’encarts publicitaires, de communiqués et d’annonces en tous genres. A leur tour, les perroquets de la plume embouchèrent les trompettes de la renommée. Subjugué, le public vint en masse, et les caisses furent remplies à ras bord. Pratiquement, chaque jour, le cirque affichait complet.

Barnum & Bailey Circus en France en 1902 : Un vertigineux kaléidoscope

À Paris, Installé dans la Salle des Fêtes de la Galerie des Machines, vestige de l’Exposition 1900, au Champ-de-Mars, Barnum & Bailey présenta son spectacle composé d’une multitude d’attractions de premier ordre. La première eut lieu le 30 novembre 1901. Le Tout Paris était présent, autour de la famille du Président de la République, entouré d’une dizaine de ministres, des ambassadeurs et des journalistes.

Barnum & Bailey fit salle comble jusqu’à la dernière, le 23 mars 1902. Les représentations eurent lieu tous les jours à 20 heures 15, avec matinée à 14 heures, le Dimanche, Mercredi, Jeudi et les jours fériés.

troupes d'acrobates de Barnum & Bailey Circus

Acrobates de Barnum & Bailey

Le spectacle

L’orchestre était dirigé par Carl Clair et la direction équestre était placée sous l’autorité de William Ducrow. Les défilés parcouraient l’ovale de l’arène, et le spectacle se déroulait sur les trois pistes et les deux plateaux. Les artistes paraissaient plusieurs fois en piste dans des numéros différents, qui avaient la particularité d’être courts et vivement enlevés. A certains moments les spectateurs avaient l’illusion de voir un véritable kaléidoscope, lorsque pas moins de 13 attractions se produisaient simultanément, ou qu’une douzaine troupes aériennes voltigeaient de concert dans les airs. Le charivari comprenait 22 clowns les plus grotesques.

Parmi les temps forts, on pouvait apprécier l’ensemble des 18 éléphants, le carrousel de 70 chevaux en liberté, et les courses d’hippodrome. Même si on pouvait regretter l’absence d’entrées de cage, les spectateurs avaient le sentiment d’en avoir pour son argent. Le public Parisien qui, depuis 1845, avait assisté à de nombreux spectacles d’hippodromes, sut apprécier, en connaisseur, la performance.

Barnum & Bailey Circus : Une forêt de mâts

En tournée, le chapiteau principal était un hippodrome à 6 mâts, de 190 mètres de long sur 85 de large. Vingt-deux mâts de corniches soutenaient la toile, et on pouvait compter 122 poteaux de tour. L’arène était occupée par trois pistes et deux plateaux.

La tente de la ménagerie jouxtait celle du cirque. Ce grand chapiteau ovale mesurait 140 mètres de long. Au centre sur une vaste estrade, on pouvait contempler les curiosités. Sur les côtés, on pouvait voir les cages des fauves, les stalles des herbivores, et l’emplacement des éléphants. En outre, deux autres chapiteaux abritaient les équidés. Environ 500 chevaux de trait et de selles occupaient les écuries.

À Londres, le troupeau d’éléphants sous la direction de George Conklin, comptait 20 éléments. À Paris, il n’y en avait plus que 18, et 16 à Dunkerque.

Le charivari des clowns de Barnum & Bailey Circus

Les clowns de Barnum & Bailey

Outre les fauves, la ménagerie était peuplée de nombreux pensionnaires, comme des familles de singes, d’ours, de hyènes, girafes, rhinocéros, et hippopotames. Du côté des exotiques, on pouvait apprécier des camélidés, zèbres, lamas, guanacos, zébus, buffles, zébus, antilopes et yacks. On pouvait admirer encore des kangourous, des marabouts, pélicans et autres casoars, sans compter les phacochères, tapirs, daims, mouflons et boucs en tous genre.

Un autre chapiteau était un side show qui présentait des attractions insolites comme Sol Stone, le calculateur éclair, ou Alphonso, l’homme à l’estomac d’autruche. 

D’autres tentes étaient dressées pour le personnel, comme la cantine avec ses cuisines pouvant recevoir 600 personnes, le vestiaire, le salon de coiffure, l’atelier de réparation, les bureaux, le service de presse, sans compter les caisses, et les toilettes.

Barnum & Bailey Circus : 106 villes françaises en un an
Barnum en France - affiche Barnum

Barnum en France

Le cirque embarqua son matériel en direction de Lyon sur 4 trains spéciaux composés de wagons spécialement aménagés aux noms évocateurs comme sleeping car, stock car, elephant, car, flat car, trunk car… 

Le travail de l’avant courrier, qui fut supervisé par James A. Bailey en juillet 1901 fut un modèle du genre.

L’itinéraire et le calendrier furent minutieusement étudiés, de manière de rester le nombre suffisant de jours dans chaque ville, et d’éviter de trop longues étapes. Les voyages de Mons-Paris, Paris-Lyon et Lyon-Marseille furent les seuls parcours comptant un kilométrage important.

Barnum & Bailey se produisit à Lyon 12 jours, à Marseille, 3 jours, puis visita le Midi, jusqu’à Toulouse. Le cirque resta ensuite une semaine, à Bordeaux, du 21 au 28 mai. A Tours, les 10 et 11 juin, le cirque géant américain planta ses chapiteaux au Champs de Mars.

Sur le parcours de la gare, l’éléphant Fritz fut pris de panique, et décima tout sur son passage. Les autorités décidèrent alors de le condamner à mort.

 Barnum & Bailey Circus, une mécanique de précision

La tournée 1902 se poursuivit en Bretagne.

À Rennes, où devait être donné en 2 jours, deux matinées et deux soirées, l’arrivée des convois à la Gare de l’Ouest s’échelonna le 26 juin, entre 1H30 et 4H12. Le premier train transportait la cavalerie et la ménagerie. Grâce à un système de plateau mobile et de plan incliné, les voitures de matériel étaient déchargées en un temps record. Les chevaux de traits furent attelés par groupe de 6 ou de 8 aux chariots qui se dirigèrent vers le Champ-de-Mars. Ensuite, les éléphants et les camélidés, formèrent un étonnant cortège jusqu’à la place.

Le lendemain, après la dernière soirée de 20 heures, les monteurs se mirent immédiatement au travail. A 22H30, les agrès, les installations intérieures, les chaises et les gradins avaient été emportés… Une demi-heure plus tard, la toile étaient descendue à terre… A 23H30, tout était chargé dans les chariots… A minuit, il ne restait que la sciure des pistes…

Le ballet aérien de Barnum & Bailey Circus

Les aériens de Barnum & Bailey Circus en France

Suite de la tournée

Barnum & Bailey se dirigea vers la Normandie, puis en juillet dans le Centre, jusqu’à Chambéry, le 14 août.

La tournée continua ensuite en Suisse, jusqu’au début du mois de septembre en passant par Genève (du 15 au 18 août), Lausanne, et Zurich.

Le 8, Barnum & Bailey s’installa à Belfort, et tourna dans l’Est et le Nord, jusqu’à l’agglomération de Lille-Roubaix. Après avoir passé 8 jours dans la capitale du Nord, du 27 septembre au 4 octobre, la firme américaine triompha jusqu’à Dunkerque, le 26 octobre, où eut lieu la dernière de la tournée européenne.

Ensuite, on embarqua la troupe, la ménagerie, le matériel, et les lessiveuses remplies de francs-or, à bord du Minneapolis, direction l’Amérique.

L’après Barnum & Bailey Circus en Europe

On aurait pu penser qu’après ce raz de marée, les cirques européens allaient être écrasés par le géant américain. Il n’en fut rien.

A Londres, l’Hippodrome de Londres ouvrit ses portes en 1901, avec des spectacles animés par les meilleurs artistes de l’époque et des pantomimes nautiques.

L’année suivante, à Paris, le Cirque d’Hiver, Le Nouveau Cirque, L’Hippo Palace, Medrano résistèrent à cette concurrence en présentant d’excellents programmes composés d’artistes qui n’avaient rien à envier à leurs homologues américains.

En Province, dans les grandes villes, Rancy et Plège, continuaient de monter des pantomimes fastueuses, tandis que Pinder sillonnait inlassablement la France profonde. En Allemagne, un jeune dresseur de petits animaux, nommé Hans Stosch Sarrasani, faisait ses débuts de directeur de cirque. Avec un petit chapiteau à une piste, 3 remorques et 5 chevaux, le Cirque Sarrasani, allait rapidement s’imposer comme le plus extraordinaire cirque du XXe siècle.

Partout ailleurs, en Europe, les étoiles de la Piste brillèrent de mille feux. Cependant d’autres cirques tentèrent de renouveler l’exploit de Barnum & Bailey en Europe. En 1905, le cirque américain Maccadon entreprit une tournée avec un programme similaire. Quatre mois plus tard, ce fut la déconfiture… En Europe centrale, le cirque Kludsky, et en Allemagne, Krone, puis Gleich s’inspirèrent du Greatest Show, cependant avec des spectacles mieux équilibrés et mieux adaptés aux dimensions de l’arène.

Le public français put applaudir Krone, en 1930, et Gleich, en 1929 et 1933. Toujours en France, Alfred Court monta en 1928 à Marseille, ses éphémères Arènes Olympiques, et l’année suivante, en association avec Pierre Périé, un Barnum’s Circus. Les frères Spiessert, à la tête du New Circus, puis de Pinder tentèrent d’imposer la formule du spectacle à trois pistes.

Barnum & Bailey Circus : Les multi pistes

Après la deuxième guerre mondiale, les Londoniens purent assister aux représentations de cirque à l’américaine montées par Tom Arnold. Les Parisiens applaudirent plusieurs spectacles au Vel’d’Hiv, sous la direction de Joseph Bouglione, puis par Pierre Andrieu et Hubert de Malafosse, comme l’avait fait avant eux, en 1943, Albert Rancy.

Plus tard, en 1963, au Palais des Sports, Ringling Bros and Barnum & Bailey, après un séjour à Lille, présenta son show sur trois pistes.

En Allemagne, Franz Althoff tourna plusieurs saisons avec une production importante, et en Espagne, le Circo Americano, sous la direction Feijoo y Castilla, fit de même. La formule du Circo Americano fut reprise ensuite par les Togni qui tournèrent en Italie et en France.

Ces quelques exemples de formules multipistes, ne doivent pas cacher le fait que tous les autres cirques européens, depuis la venue de Barnum & Bailey, de 1897 à 1902, continuèrent à présenter des spectacles sur une seule piste.

Indépendamment des différents types de présentation et des modes, la formule du cirque à l’européenne, telle qu’elle fut créée par Philip Astley continue d’émerveiller le public sur les cinq continents. La seule condition sine qua non restant de façon immuable, la qualité.

Tournée en France du Barnum & Bailey Circus

Barnum & Bailey - portraits

Barnum & Bailey

À Paris
  • – 30 novembre 1901 au 23 mars 1902 : A Paris, Galerie des Machines, au Champ-de-Mars.
Tournée en France sous chapiteau 
    • – 30 Mars au 10 avril : Lyon.
    • – 12 au 21 avril : Marseille, puis du 22 au 24 à Toulon. Ensuite du 25 au 27, à Nice, et enfin du 30 avril au 1er mai à Avignon. A noter que les étapes de Draguignan et Arles ont été annulées.
    • – 2 au 20 mai : Alès, le 2, Nîmes, les 3 et 4, Montpellier, les 5 et 6, Séte, le 7, Narbonne, le 8, Perpignan, le 9, Béziers, les 10 et 11. Puis, Carcassonne, le 12, Castres, le 13, Albi, le 14, Toulouse, du 15 au 18, Montauban, le 19, Agen, le 20.
    • – 21 au 28 mai :Bordeaux, puis Périgueux, le 29, Brive-la-Gaillarde, le 30, et Limoges, du 31 mai au 1er juin.
Juin – juillet
    • – Le 2 au 30 juin : Angoulême, le 2, à Saintes, le 3, Rochefort, le 4, La Rochelle, le 5, Niort, le 6, Poitiers, les 7 et 8, Châtellerault, le 9. À Tours, les 10 et 11, Saumur, le 12, Cholet, le 13, Angers, les 14 et 15. À Nantes, du 16 au 18, Saint-Nazaire, le 19, Vannes, le 20, Lorient, le 21, Quimper, le 22. Ensuite Brest, les 23 et 24, Saint-Brieuc, le 25, Rennes, les 26 et 27, Saint-Malo, le 28, Fougères, le 29, et Laval, le 30 juin.
    • – 1er au 31 juillet : Le Mans, les 1er et 2, Alençon, le 3, Lisieux, le 4, Caen, les 5 et 6, Evreux, le 7, Chartres, le 8, Orléans, les 9 et 10. Après, Montargis, le 11, Sens, le 12, Auxerre, le 13, Troyes, les 14 et 15, Chaumont, le 16, Dijon, les 17 et 18. Arrivée à Besançon, les 19 et 20, Lons-le-Saulnier, le 21, Bourg-en-Bresse, le 22, Mâcon, le 23, Châlon-sur-Saône, le 24. Continuation au Creusot, le 25, Nevers, le 26, Bourges, les 27 et 28, Châteauroux, le 29, Montluçon, le 30, et Moulins, le 31 juillet.
août – septembre
    • – Le 1er au 14 août : Thiers le 1er, Clermont-Ferrand les 2 et 3, Vichy, le 4, Roanne, les 5 et 6, à Saint-Etienne, du 7 au 10, et à Chambéry le 14 août.
    • – 15 au 7 septembre : La tournée continua ensuite en Suisse, avec Genève du 15 au 18août, Lausanne, les 19 et 20, Fribourg, le 21, Biel, le 22, La Chaux-de-Fonds, les 23 et 24. Arrivée à Berne, les 25 et 26, Lucerne, le 27, Zurich. À Saint-Gall, les 1er et 2 septembre, Winterthur, le 3, Schaffhausen, le 4, et enfin Bâle, du 5 au 7 septembre.
    • – 8 au 26 septembre : Retour en France, le 8 septembre à Belfort. Ensuite, Epinal les 9 e10, Lunéville, le 11, Nancy, du 12 au 14, Bar-le-Duc, le 15, Châlons-sur-Marne, le 16. À Verdun, le 17, à Sedan, le 18, Charleville-Mézières, le 19, Reims, du 20 au 23. Puis Compiègne, le 23, Laon, le 24, et Saint-Quentin, les 25 et 26.
octobre
    • – 27 septembre au 4 octobre : Agglomération de Lille-Roubaix – Pont de Croix, du 27 au 30 septembre – Champs de Mars à Ronchin, du 1er au 4 octobre.
    • – 5 au 26 octobre : Maubeuge, le 5, Valenciennes, le 6, Cambrai, le 7, Douai, le 8, Arras, le 9, Amiens, du 10 au 12, Beauvais, le 13. À Rouen, du 14 au 16, le Havre, du 17 au 19, Dieppe, le 20, Abbeville, le 21, Boulogne, les 22 et 23. Puis Calais, les 24 et 25, et enfin denier jour de la tournée à Dunkerque le 26.
  • Barnum & Bailey - affiche de la tournée française Barnum

    Barnum & Bailey – affiche française

Sources
    • Le Livre des Merveilles – Clarence L. Dean.
    • Barnum and Bailey Greatest Show on Earth – Magazine – Collections Charles Degeldère – Paul Salasca.
    • Programme officiel Barnum & Bailey – 1901-1902.
    • Courriers Barnum & Bailey – 1901 à 1905 – Collection Charles Degeldère.
    • Il y a 100 ans – Dominique Denis – Bretagne Circus – 2001 – 2002.
    • Programmes des Cirques en France de 1860 à 1910 – Alain Simonet – p 46 à 57.
    • Dictionnaire du Cirque – Dominique Denis.
    • Barnum et Bailey – Les Origines du Cirque Moderne – Le Sport Universel Illustré – Henry Thétard – 1926.
    • La Merveilleuse Histoire du Cirque – Henry Thétard – p 173 à 183.
    • Coulisses et secrets du Cirque – Henry Thétard – p 31 à 39.
    • La vie du cirque – Alex Coutet – p 27.
    • Histoire illustrée du cirque à Bruxelles – Jean-Léo – p 84-85.
    • Histoire illustré des cirques parisiens – Adrian – p 229-230.
    • Sur les chemins des grands cirques voyageurs – Adrian – p 125.
    • Sources – suite
    • Cirques en bois, Cirques en pierre – Charles Degeldère et Dominique Denis.
    • A ring, a horse and a clown – John H. MacConnell – p 110.
    • Barnum par lui même – A. H. Saxon..
    • Nouvel aperçu de la vie de James A. Bailey – A. H. Saxon.
    • Tournée Barnum and Bailey en France 1901-1902 – Frédéric Fournis.
    • Grand répertoire illustré des cirques en France – Robert Barrier.
    • 100 ans d’affiches du cirque – Jack Rennert.
    • Le Livre des Merveilles de Barnum and Bailey – Permanence du Cirque.
    • 200 years of the american circus – Tom Ogden.
    • Les éléphants au cirque – Christian Hamel – p 34.
    • Le cirque Maccadon – Robert Barrier.
    • Série d’articles – Ouest Eclair – Juin 1902.
    • Série d’articles de presse par Henry Thétard – 1929-1930.
    • Annonces – La Voix du Nord – Septembre 1963.

Adaptation de l’article paru dans Le Cirque dans l’Univers – n° 205 : 1902 : La belle aventure française de Barnum & Bailey par Dominique Denis.

Dominique Denis 

Pour en savoir plus…

Trésors de Barnum.

Cliquez sur le titre

Une sélection de documents – d’un pouvoir émotionnel intense – qui illustrent ses spectacles grandioses : Placards, annonces, gravures, images, photos, lithographies, affiches, présentés chronologiquement et accompagnés d’un texte explicatif. 

101 documents rares en 76 pages

le livre : Trésors de Barnum

Avec cette nouvelle collection, devenez un expert ès cirque !

Couverture - Trésors de Barnum - D. Denis
Couverture de Trésors de Barnum