Philip Astley, ex-sergent-major de dragons légers créa en 1768 le concept du spectacle de Cirque.
Philip Astley - Astley

Philip Astley

Astley et le cheval roi

Philip Astley, sanglé dans son uniforme de dragon, spencer rouge, culotte de peau, bottes et bicorne à plumet, débuta dans le métier du spectacle en 1766, sous l’égide de son mentor Thomas Johnson.

Sa vie, riches en anecdotes, plus ou moins romancée, fut narrée par comédien Jacob Decastro qui avait participé à plusieurs de ses productions. Des historiens britanniques lui ont consacrés de nombreuses pages (voir la bibliographie) comme les derniers en date, Mike Rendell, Dominique Jando et Steve Ward. Enfin, pour la carrière française d’Astley, comment ne pas citer Le Cirque en France au XVIIIème siècle par l’auteur de ces lignes ?

Richard Ier - Astley

Richard Ier

Pour comprendre l’incroyable succès qu’allait obtenir Philip Astley, il faut rappeler que le public britannique vouait une réelle passion pour l’art équestre qui remontait à l’époque du retour des Croisades de Richard Ier, dit coeur de lion, au XIIème siècle. En effet, celui-ci avait importé des chevaux arabes et organisé le première course régulière en Angleterre. Parmi ses successeurs, Henri VIII fut un adepte de l’amélioration de la race chevaline et créa le St George Bell. Jacques Ier réglementa les épreuves sur piste et créa le premier hippodrome de courses à Newmarket en 1611. L’engouement pour le cheval s’était alors étendu à toutes les classes de la société de Grande Bretagne.

Manège anglais au XVIIIème siècle - Astley

Manège anglais au XVIIIème siècle

Les manèges britanniques

En 1750, fut fondé le Jockey Club, cercle aristocratique par excellence qui fera école dans de nombreux pays, et dans le Royaume, de nombreux manèges et écoles d’équitation ouvrirent leurs portes.

À partir de 1758, l’écuyer Thomas Johnson, surnommé le Tartare Irlandais, présenta en public des exercices de voltige dans un champ attenant à l’auberge The Three Hats, à Islington. D’autres cavaliers émérites comme Thomas Price, Jacob Bates, Old Sampson, Coningam ou Wolton devinrent à leur tour des promoteurs de cet art acrobatique. Ces démonstrations équestres furent particulièrement goûtés et succitèrent de nombreuses vocations.

Le dragon Philip Astley
La guerre de 7 ans - Astley

La guerre de 7 ans

Il était né le 8 janvier 1742 à Newcastle-under-Lyme, West Midlands, en Angleterre. Son père, Edward Astley était un artisan menuisier. Délaissant le rabot et la varlope, Philip Astley, qui venait d’avoir dix-sept ans s’engagea dans le 15ème régiment de dragons légers commandé par le colonel Granville Elliot. Nommé caporal deux ans plus tard, il participa à la Guerre de 7 ans. Ce conflit, qui dura de 1756 à 1763, fut une véritable guerre mondiale qui se déroula sur plusieurs continents, opposant la France à une coalition réunissant l’Angleterre, la Prusse, l’Autriche et la Russie.

Bon militaire, il exerça le métier des armes avec bravoure. À la bataille d’Emsdorff, il réussit à s’emparer d’un drapeau des troupes françaises. À Warbourg, avec cinq compagnons, il se lança au secours du duc de Brunswick tombé de cheval. Après de bons et loyaux services, Philip Astley termina la guerre avec le grade de sergent major. Pour le récompenser, le Major William Esquine, qui commandait le régiment, lui offrit un cheval du nom de Gibraltar.

Puis, il se maria avec Martha Mary Patty Jones à Londres, le 8 juillet 1765, à l’église de St. George, à Hanover Square, et quitta l’armée le 21 juin 1766. Démobilisé, Philip Astley décida de se consacrer à la voltige équestre. Il travailla sous l’égide de Thomas Johnson. En 1767, naissait son fils John Philip Conway Astley. Devenu père de famille, il décida de faire cavalier seul.

Premiers spectacles équestres de Philip Astley
Les débuts d'Astley et son cheval

Les débuts d’Astley

À Londres, le 4 avril 1768, Philip Astley loua le New Springs Gardens, dans Chelsea, sur la rive gauche de la Tamise. Le matin, il donnait des cours dans son école d’équitation, et l’après-midi, un spectacle équestre. Après avoir paradé en uniforme sur son cheval à l’extrémité sud du pont de Westminster, il entrainait les badauds vers son riding school. La représentation se résumait à une vingtaine d’atttitudes à cheval, de la voltige et une martiale démonstration de maniement de sabre, et ensuite, il passait le chapeau auprès de son honorable assemblée. La première cavalerie était composée de Gilbraltar et de son poney du nom de Billy, the Little Military Horse.

Toujours dans la capitale, il s’installa ensuite à Lambeth, dans un terrain entouré de pieux et de cordes, le Glover’s Halfpenny Hatch, entre Blackfriars et le pont de Westminster. Rapidement, Philip Astley prit conscience que ses exercices de voltige ne suffisaient pas pour un spectacle digne de ce nom, d’autant qu’il n’était pas le seul à pratiquer cet art, notamment Wolton qui était devenu un sérieux concurrent. Pour étoffer ses représentations, il fit appel à des artistes pratiquant des disciplines différentes comme des funambules, acrobates et comiques. Dès 1769, costumé en Punch, le Polichinelle anglais, le danseur de corde Fortunelly enrichit considérablement le spectacle. C’est ainsi que le concept du cirque moderne venait d’être créé.

Punch sur la corde - Astley

Punch sur la corde

Avec humour,il ajouta en juillet 1768 une saynète comique dont le héros était le tailleur du régiment de cavalerie qui n’était jamais monté à cheval. Au fil du temps, la scène se développa et s’appela Les malheurs de Billy Button dans son voyage à Brentford, en référence au personnage de La fille de Bath, la pièce de Samuel Foote.

The Amphitheatre Riding House
Façade d'Astley par Serge - Astley

Façade d’Astley par Serge

En 1770, Philip Astley fit construire son Amphitheatre Riding House, sur un autre terrain, au croisement de Stangate Street et de Westminster Bridge Road. La façade était en bois ainsi que les gradins recouverts d’un toit en toile. La piste circulaire de 19,50 mètres de diamètre, recouverte de sciure de bois, était à ciel ouvert. Pour les numéros d’acrobatie, on installait un plateau en bois ou un tapis à même le sol. Le prix des places assises était d’un shilling, et de six pence pour les spectateurs qui restaient debout. L’accompagnement musical était assuré par madame Astley en personne qui battait du tambour. Quelque temps plus tard, la formation fut augmentée d’un joueur de fifre. Ce fut le premier orchestre de Cirque.

La piste d'Astley - Astley

La piste d’Astley

Cherchant à renouveller son spectacle, en 1771, il engagea de nombreux artistes comme l’écuyer Charles Hugues ou les danseurs de corde Ferzi et Garmon.

L’année suivante, les Londoniens purent applaudir Daniel Wildman qui parcourait la piste à cheval, le corps recouvert d’abeilles. Le couple Astley fut invité en avril à donner une représentation dans le manège des écuries du château de Fontainebleau pour le Roi Louis XV.

De retour à Londres, la troupe était composée des Astley, Madame Griffiths, Costmethopila, monsieur Taylor, Signor Markutchy, et miss Vangable. Tandis que Charles Hugues montait à Londres sa British Horse Academy, la compagnie Astley partit à Bristol, puis entreprit une tournée de six mois en Irlande. En 1773, Astley ouvrait son Riding School à Dublin.

The Modern Riding Master
Affiche Astley 1774 - Astley

Affiche Astley 1774

En 1774, il retourna à Paris, dans le manège de l’ambassade du Roi de Sardaigne. Cette fois, son fils John, âgé de six ans, participa au spectacle. En octobre, Philip se produisit à Leeds, puis à Edimbourg jusqu’en janvier de l’année suivante. Infatiguable, il publia un ouvrage sur l’équitation intitulé The Modern Riding Master, puis à la fin de la saison, innova avec une pyramide à quatre personnes sur trois chevaux, intitulée A journey to Paris.

Retour à Londres en 1776, avec un décor représentant le temple de Minerve. Puis, Astley entreprit de se produire dans d’autres villes comme Northampton en décembre, à Derby en février 1777, ou Liverpool en janvier 1778. Sur les affiches, le jeune John Astley était annoncé âgé de cinq ans, alors qu’en réalité, il en avait le double.

Les affaires étant prospères, à la fin de l’année suivante,il fit ériger son premier bâtiment en bois couvert à Westminster Bridge. Le moment était venu de délaisser les exercices de voltige pour se consacrer à la direction et la régie de son amphithéâtre. Alors, Astley théâtralisa son spectacle en présentant une pantomime intitulée La mort du capitaine Cook. À peine créé, le nouveau cirque était né.

En 1780, la troupe était composée des écuyers Griffin, Jones, Miller, des acrobates Nevit, Porter, Dawson, Garmon, et du comique Burt.

Le manège anglais à Paris de Philip Astley
John Astley - Astley

John Astley

Retour à Paris en 1782 pour six semaines. Avec son fils John, Philip Astley s’installa dans un terrain situé 16 et 18 rue du Faubourg-du-Temple, où il aménagea un manège en plein air. Les Astley se produisirent à Versailles, devant la Reine Marie-Antoinette qui fut enchantée par le galant menuet de John qu’elle surnomma la rose anglaise.

L'amphithéâtre parisien d'Astley - Astley

L’amphithéâtre parisien d’Astley

Après ces évènements, les Astley père et fils revinrent à Paris à l’automne 1783. Ils firent construire au même emplacement de la rue du Faubourg-du-Temple un manège couvert qu’ils nommèrent le Nouvel Amphithéâtre ou Amphithéâtre Anglais. La première eut lieu le 13 octobre 1783. Le public parisien apprécia le spectacle composé d’exercices équestres, des numéros d’acrobatie et de sauts, agrémentés par les interventions comiques d’Abraham Saunders, dit Billy, dans le rôle du Paillasse.

Le succès fut tel, qu’ils revinrent dans leur amphitéâtre parisien pour la saison d’hiver suivante, avec la troupe d’Antonio Franconi, composée de ses enfants, ses élèves, et de vingt chevaux. Entre-temps, en mars 1784, Philip Astley avait effectué une spectaculaire ascension en ballon à St George’s Fields.

The Royal Grove
The Royal Grove - Astley

The Royal Grove

En janvier 1785, à Paris, Philip Astley débutait son spectacle par des ombres chinoises, et le mois suivant, présentait une scène intitulée Le Combat Naval. Il emmena sa troupe à Bordeaux, en mai. Il retourna ensuite dans son amphithéâtre londonien. À l’occasion de l’anniversaire du Roi Georges III, le 4 juin, il fit tirer un feux d’artifice. Comme la salle était décorée de façon champêtre et la coupole était peinte de feuilles d’arbres, l’établissement fut baptisé The Royal Grove (le bois royal).

Il revint en France, cette fois à Rouen, jusqu’en mars 1786. Les Parisiens furent heureux de les revoir ensuite. En avril, la vedette n’était autre que le général Jaco, un singe comédien, acrobate et danseur de corde. John Astley fut invité par le devant le Roi Louis XVI, le 30 avril à Fontainebleau. Infatigables voyageurs, les Astley reprirent la route de Londres, puis à nouveau, celle de Bordeaux.

Le pont équestre en 1786 - Astley

Le pont équestre en 1786

Pour la rentrée d’automne à Paris, trois nouvelles attractions furent à l’affiche : un ventriloque anglais, un cochon savant, et la Troupe Royale de sauteurs. Jean-Baptiste Nicolet qui détenait une sorte de monopole des spectacles composés d’acrobatie et de sauts, porta plainte, pour concurrence déloyale. Comme si de rien n’était, Astley annonça son spectacle par voie d’affiches. Nicolet, le responsable de la police et ses agents vinrent à la représentation, prêts à interrompre le spectacle. Quelle ne fut leur surprise, lorsqu’ils virent entrer en piste huit chevaux portant sur leur dos un plancher sur lequel la troupe de sauteur présenta leurs exercices acrobatiques…

Magic World

Reprenant la route,il emmena sa troupe à Amiens en février 1787 puis, à la fin du mois se rendit à Bruxelles pour six jours. Il revint à Paris le 24 avril, pour une représentation donnée pour le duc d’Orléans, puis regagna Londres.

En 1788, Astley père et fils se produisirent à Liverpool et à Londres. Ils montèrent plusieurs spectacles comme Magic World, une pièce inspirée des productions féeriques de Sadler’s Wells avec de nombreux intermèdes dansés et musicaux. La troupe était composé de Jenkins, Henley, Bell, Ferrere, Fox, Connell, Stevens, Henley, Crossman Johannot, De Castro, Millard et Wallack.

John Astley le fils de Philip Astley

John Astley

La réouverture parisienne eut lieu en en septembre 1788, sous la direction de John, avec la famille d’Antonio Franconi qui à la fin de l’année interpréta La bataille et la mort du général Malborough. Les représentations continuèrent en 1789 jusqu’à l’avènement de la Révolution française. Philip Astley chargea alors madame Piqueroy de gérer son amphithéâtre qu’il mit en location, et rejoignit sans tarder la Grande Bretagne. En décembre 1789, à Dublin, John Astley mit à l’affiche La mort du capitaine Cook.

Guerre et paix

Laissant la direction de son cirque à son fils John, Philip Astley participa à l’embarquement des troupes de cavaleries anglaises en direction du Continent pour contrer les armées révolutionnaires françaises.

Le 16 août 1794, son amphithéâtre londonien fut détruit par le feu. De plus, il eut la douleur de perdre son épouse. Courageusement, il fit face à son destin, reconstruisit son cirque le Astley’s Amphitheatre of the Arts, et redonna des représentations le lundi de Pâques de l’année suivante. À Oxford, le 9 mai 1796, il ajouta à son programme un feu d’artifice. En 1797, il loua son amphithéâtre de Dublin à William Davis et Benjamin Handy, et l’année suivante, fit ériger une autre construction dans la même ville.

The Olympic Pavillon
Traité équestre de Philip Astley - Astley

Traité équestre de Philip Astley

John Astley se maria le 24 décembre 1800 avec Hannah Waldo Smith. Pour célébre le nouveau siècle, Philip Astley fit paraître une nouvelle édition de son traité d’équitation : Astley’s System of Equestrian Education. Dans son amphitheâtre, il monta de nouveaux spectacles à caractère militaire comme, en juin, The British Glory in Egypt. 

Après la paix d’Amiens conclue avec la France en 1802, Philip Astley retourna à Paris pour régler ses affaires. En septembre 1803, l’amphithéâtre londonien fut à nouveau la proie des flammes. Aussitôt, Il le fit reconstruire à Westminster, cette fois en pierre, en s’inspirant du Royal Circus de Charles Hugues, avec une piste et une scène, qu’il appela The Olympic Pavillon.

Le Pavillon d'Astley - Astley

Le Pavillon d’Astley

En 1803, la salle de spectacle fut une fois de plus détruit par le feu et, une fois de plus, reconstruite l’année suivante au coin de Newcastle et Wych Street dans le Strand. La réouverture eut lieu le 18 septembre 1806, avec un spectacle intitulé L’école de Mars. La direction en fut confié à John Astley et William Davis.

Le créateur du spectacle de Cirque
L'intérieur d'Astley en 1804 - Astley

L’intérieur d’Astley en 1804

Cependant, les affaires devenaient plus difficiles, et Astley changea plusieurs fois le nom de son établissement : Olympic Saloon, Astley’s Middelsex Amphitheatre et Astley Theatre. Finalement, Philip Astley vendit son établissement à Robert Ellinston en 1813.

Il retourna à Paris, rue du Faubourg du Temple, où il décèda le 20 octobre 1814. Il fut inhumé au cimetière du Père Lachaise. Son fils John, continua de diriger l’amphithéâtre londonien, et sept ans plus tard, le 19 ctobre 1821, mourut, comme son père, dans la même maison à Paris.

Personnalité exceptionnelle, sergent-major de cavalerie, voltigeur équestre, maître de manège, entrepreneur de spectacles, Philip Astley reste le créateur incontesté du spectacle de cirque.

Philip Astley - La naissance du Cirque

Philip Astley – La naissance du Cirque par Dominique Denis

Dominique Denis
A LIRE : 
Philip Astley – La naissance du Cirque – Dominique Denis – Arts des 2 Mondes – 2018
Sources
  • Astley et le cheval roi
  • Dossiers chronologiques de l’auteur.
  • Astley’s Circus – The story of an English Hussar – Mike Rendell.
  • Circus Life and Circus Celebrities – Thomas Frost.
  • Greatest show on earth – Maurice Willson Disher.
  • Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis.
  • The Circus – Isaac J. Greenwood .
  • The Circus Book – Ruppert Croft-Cooke & Peter Cotes.
  • The English Circus – Ruth Manning-Sanders.
  • The First Circus – Joan Selby-Lowndes.
  • Les manèges britanniques
  • The Memoirs of J. Decastro, comedian – Jacob Decastro.
  • Victorian Arena – The Performers – John Turner.
  • Notes de l’auteur.
  • Le dragon Philip Astley
  • Billy Buttons – Steve Ward – p 16.
  • Certificat de mariage de Philip Ashley et Patty Jones.
  • Victorian Arena – The Performers – John Turner.
  • The Circus – Isaac J. Greenwood .
  • The Circus Book – Ruppert Croft-Cooke & Peter Cotes.
  • Les Histoires de Cirque de Lewis-James Pinder dit Arthur – Jacques Garnier.
Sources – suite
  • Premiers spectacles équestres de Philip Astley
  • Architectures du Cirque – Des origines à nos jours – Christian Dupavillon.
  • Les Jongleurs à cheval – Dominique Denis.
  • Clowns de Cirque – Histoire des Comiques de la Piste – Dominique Denis.
  • The Amphitheatre Riding House
  • Architectures du Cirque – Des origines à nos jours – Christian Dupavillon.
  • The Circus – Isaac J. Greenwood .
  • Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis.
  • Astley’s Circus – The story of an English Hussar – Mike Rendell .
  • The Modern Riding Master
  • Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis.
  • The Circus – Isaac J. Greenwood.
  • The Circus Book – Ruppert Croft-Cooke & Peter Cotes.
  • The First Circus – Joan Selby-Lowndes.
Sources – suite
  • Le manège anglais à Paris
  • Le Journal de Paris – n° 186 – 5/7/1782.
  • Les anciens cirques – Un soir chez Astley (25 avril 1786) – Comte de Contadès.
  • Philip Astley à Paris – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 69.
  • Histoire illustrée des cirques parisiens d’hier et d’aujourd’hui – Adrian.
  • Le cirque commence à cheval – Adrian – 1968.
  • C’est un cavalier qui créa le premier spectacle de cirque : Philip Astley – Adrian – Plaisirs Equestres – décembre 1977.
  • Mémoires secrets – Louis Petit de Bachaumont.
  • Architectures du Cirque – Des origines à nos jours – Christian Dupavillon.
  • Greatest show on earth – Willson Disher.
  • Philip Astley – Echo – avril 1968.
  • Cirques en bois, Cirques en pierre de France – Charles Degeldère et Dominique Denis.
  • Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis.
  • Le Cirque Franconi – Une chambrière en retraite.
  • Architectures du Cirque – Des origines à nos jours – Christian Dupavillon.
Sources – suite
  • The Royal Grove
  • Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis .
  • Le Cirque à Bordeaux – Archives Municipales de Bordeaux.
  • Antonio Franconi dans la vie et les spectacles à Rouen – Christian Oger.
  • Le cirque de la rue Dugay-Trouin à Rouen – (1784-1814) Christian Oger.
  • Cirques en bois, Cirques en pierre de France – Charles Degeldère et Dominique Denis.
  • Les anciens cirques – Un soir chez Astley (25 avril 1786) – Comte de Contadès.
  • Learned pigs & fireproof women – Ricky Jay.
  • The Circus – Isaac J. Greenwood .
  • The Circus Book – Ruppert Croft-Cooke & Peter Cotes .
  • Fabuleuses affiches de Cirque – Dominique Denis.
  • Les premiers écuyersJoseph Halperson – Music-Hall and Circus – n° 72
  • Antonio Franconi e la nascita del Circo Giancarlo Pretini.
  • Quelques notes sur Antonio Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 44.
  • La dynastie des Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 76.
  • Le Cirque Franconi – Une chambrière en retraite.
  • Ecuyers et Ecuyères – Baron de Vaux.
  • Annonce Astley à Londres – 4 juin 1795.
  • La Merveilleuse Histoire du CirqueHenry Thétard.
  • Notes Paul Haynon – Archives Nationales de France.
Sources – suite
  • Magic World
  • Le Monde du Cirque – André Minne.
  • Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis .
  • Astley’s Circus – The story of an English Hussar – Mike Rendell.
  • Guerre et paix
  • The Circus – Isaac J. Greenwood .
  • Annonce Astley Oxford – 9 mai 1796.
  • The Circus Book – Ruppert Croft-Cooke & Peter Cotes.
  • The Memoirs of J. Decastro – Jacob Decastro.
  • The Olympic Pavillon
  • Billy Buttons – Steve Ward.
  • Astley’s Circus – The story of an English Hussar – Mike Rendell.
  • Circus Life and Circus Celebrities – Thomas Frost.
  • Enter foot and horse – A history of hippodrama in England and France – A. H. Saxon.
  • Greatest show on earth – Maurice Willson Disher.
  • Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis.
  • The Circus – Isaac J. Greenwood .
  • The Circus Book – Ruppert Croft-Cooke & Peter Cotes.
  • The English Circus – Ruth Manning-Sanders.
  • The First Circus – Joan Selby-Lowndes.
  • Le créateur du spectacle de Cirque
  • Victorian Arena – The Performers – John Turner.
  • Notes de l’auteur. 

A lire :

  • Philip Astley – La naissance du Cirque – Dominique Denis – Arts des 2 Mondes – 2018.
  • Billy Buttons – The Life & Times of Philip Ashley – Steve Ward – Pen & Sword books – Barsnley – 2018.
  • Astley’s Circus – The story of an English Hussar – Mike Rendell – CreateSpace Independent Publishing Platform – 2014.
  • Philip Astley – The horsemen who invented the Circus – Dominique Jando – Circopedia – 2018..
  • Greatest show on earth – Maurice Willson Disher – London – G. Bell and Son – 1937.
  • Les anciens cirques – Un soir chez Astley (25 avril 1786) – Comte de Contadès – London – John Adamson – 1887.
  • The Circus – Isaac J. Greenwood – New York – Burt Franklin – 1898.
  • The Circus Book – Ruppert Croft-Cooke & Peter Cotes – London – Sampson Low, Marston & Co.
  • The English Circus – Ruth Manning-Sanders – London – Werner Laurie – 1952.
  • The First Circus – Joan Selby-Lowndes – Lutterworth – 1957.
  • The Memoirs of J. Decastro, comedian. In the Course of Them Will Be Given Anecdotes of Various Eminently Distinguished Characters Amongst – Jacob Decastro – London – Sherwood, Jones – 1824.